Tuesday, August 15, 2006

Interview d'Asyl 08.07.06

Yeah, voilà l'interview que j'ai réalisé d'Asyl lors des Solidays (l'interview n'est pas complète mais je n'en suis pas responsable!)

Pourquoi avez-vous choisi le nom d’Asyl ?
Antoine : On a choisi ce nom là il y a 10 ans, on était ados. Ca n’avait pas vraiment de signification particulière. On sait ce que c’est un nom allemand, ça veut dire asile politique ou psychiatrique. Mais voilà c’est aussi une race de coq de combat. On aurait monté un groupe y’a un an, on se serait plus pris la tête sur le nom.

Qui fait quoi dans le groupe, qui compose etc ?
Antoine : On compose par patchwork, c’est-à-dire que chacun ramène des trucs sur la table et on mélange tout. Principalement, c’est Mathieu qui fait les textes. Il se ramène avec tout un tas de texte, et puis nous on mélange. Si ça marche on garde, sinon on laisse tomber. Après on arrange.

On dirait que Mathieu est obsédé par les bombes (Hiroshima, La fille d’à côté…)
Antoine : Euh, est-ce qu’il vient d’une famille de terroristes irlandais, ça je ne le dirais pas. Secret ! Non mais les textes d’une manière générale parlent de fantasmes mais aussi de tout un tas de choses qui ne sont pas forcément de notre réel à nous mais plutôt du rêve. La fille d’à côté c’est une chanson qui parle d’une voisine sur lequel il fantasme. Zeppelin c’est plutôt une chanson qui parle de machines de guerres, d’artillerie lourde, d’explosions. En même temps quelqu’un un tant soit peu documenté sait très bien qu’on ne lâche pas de bombes depuis un Zeppelin, c’était juste fait pour observer. Nous on aime bien tricher. Mais c’est le côté explosif peut être, faudrait lui demander à lui.

Mathieu a écrit un texte pour Indochine, vous prévoyez de collaborer avec d’autres artistes ou groupes ?
Benjamin : Pourquoi pas, déjà on a Daniel Darc qui est venu jouer avec nous sur scène. Après ça se fait sur rencontres.

Vous avez eu le temps d’aller voir des groupes ?
Antoine : Pas pour le moment, il est un peu tôt. Mais là ce soir on va voir les Dandy Warhols.

Petite pub : bah va te faire foutre alors !

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